dimanche 28 février 2010

Opus - Live Is Life (1984)



(c) lescharts.com


Le 20 juillet 1985, l'Autriche prend le pouvoir au top 50 pour 7 semaines avec un quatuor qui a pondu un tube que beaucoup qualifieront de kitsch, mais qui n'en demeure pas moins imparable.

Car Live Is Life, c'est un peu ce qu'il existe de mieux dans la branche Stadium FM (une nouvelle catégorie que je ne connaissais pas, mais qui a un nom charmant). En effet, comment ne pas reconnaître l'efficacité des claps claps, des breaks de batterie, de la guitare, des Na Na Nanana... C'est tout simplement bien vu, bien senti, et y en a des caisses qui auraient tué pour écrire un morceau dont tout le monde connaîtrait la mélodie près de 25 ans plus tard...

Alors bien sûr, ce fût leur seul grand tube, bien sûr ils ne dépassèrent le seuil des ventes confidentielles que dans les pays germanophiles après ce monstrueux tube, bien sûr... N'empêche, bravo et respect à eux pour avoir franchi les frontières et s'être imposé partout dans le monde avec une chanson... Beaucoup n'ont pas eu cette chance et ce talent...

Un clip fédérateur, assez kitsch mais qui rapproche les gens de tous horizons,et c'est bien l'un des principaux messages que véhiculent le morceau, on est pas pris pour des jambons, c'est ça qu'est beau !



Opus - Live Is Life
envoyé par Pierrot68.


Plein de cadeaux : la face B, "Up And Down" (qui est une face B effectivement), le duo avec Falco (autre très grande figure du chant de langue allemande des 80's dont je vous reparlerai très bientôt) pour "Flyin' High", et quelques reprises : celle de la même époque de Stargo (nulle mais bon c'est toujours rigolo de voir que certains n'avaient aucune vergogne pour reprendre des morceaux alors qu'ils étaient toujours classés...), celle du groupe slovène Laibach (assez industrielle, et très imagée), et enfin la canadienne de René Simard (de toute beauté dans un style très épurée...).

La prochaine fois, nous évoquerons un groupe d'Italo Disco qui a pris les rênes du Top 50 à la suite de nos amis autrichiens. Mais ça c'est une autre histoire...

To Be Continued...


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