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Des fois, je comprends pas les choix des diffuseurs radios en France. Pourquoi ne pas avoir passé ce morceau numéro 1 aux USA sur nos ondes : jalousie, anti-américanisme primaire... Bref, moi je comprendrais jamais certains oublis dans ces merveilleuses années 80...
Le groupe s'appelle donc Mr Mister : c'est particulier comme patronyme, il faut le reconnaître. Il s'agit d'une formation de 4 musicos, qui ont navigué dans les années 80 entre new wave et pop rock, avant de se séparer et d'aller voguer chacun de leurs côtés sous d'autres cieux, notamment ceux de l'écriture pour d'autres artistes.
3 albums à leur actif, et surtout un "Welcome To The Real World", qui accouchera de deux number ones au Billboard : "Broken Wings" présenté ici, et "Kyrie", un autre morceau assez intéressant, bien que moins bon à mon humble avis.
Car ce tube qu'est "Broken Wings" a tout pour plaire : une bonne mélodie, une bonne rythmique avec cette super ligne de basse, une bonne guitare qui balance quand il faut et le chanteur Richard Page qui sait monter où il faut, quand il faut avec sa voix. Bref, des breaks, des reprises, des envolées, un morceau de très très grande qualité. Le clip n'est pas mal non plus dans son genre, symbiose parfaite de noir et blanc, de ralentis et de plans chéris par les vidéastes de l'époque :
Non, franchement parfois, je comprends pas...
Le groupe s'appelle donc Mr Mister : c'est particulier comme patronyme, il faut le reconnaître. Il s'agit d'une formation de 4 musicos, qui ont navigué dans les années 80 entre new wave et pop rock, avant de se séparer et d'aller voguer chacun de leurs côtés sous d'autres cieux, notamment ceux de l'écriture pour d'autres artistes.
3 albums à leur actif, et surtout un "Welcome To The Real World", qui accouchera de deux number ones au Billboard : "Broken Wings" présenté ici, et "Kyrie", un autre morceau assez intéressant, bien que moins bon à mon humble avis.
Car ce tube qu'est "Broken Wings" a tout pour plaire : une bonne mélodie, une bonne rythmique avec cette super ligne de basse, une bonne guitare qui balance quand il faut et le chanteur Richard Page qui sait monter où il faut, quand il faut avec sa voix. Bref, des breaks, des reprises, des envolées, un morceau de très très grande qualité. Le clip n'est pas mal non plus dans son genre, symbiose parfaite de noir et blanc, de ralentis et de plans chéris par les vidéastes de l'époque :
Non, franchement parfois, je comprends pas...
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