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J'ai déjà évoqué Billy Ocean, ce héros des années 80 en provenance de Trinidad Et Tobago pour ce merveilleux titre qu'est "When The Going Gets Tough, The Tough Gets Going". Penchons nous au tout début de sa carrière et à son tout premier morceau, aussi pétillant et enchanteur que les meilleurs morceaux de groupes tels que The Foundations (dont je vais pas tarder à parler d'ailleurs...)
"Love Really Hurts Without You" est de ces chansons qui donnent envie de balancer les bras, de claquer des doigts, de dodeliner gentiment de la tête et d'afficher un sourire béat à son écoute. J'ai qu'une envie à la fin de la chanson : la repasser pour pouvoir chanter à tue tête avec Billy.
Et la vidéo qui va avec le morceau est de toute beauté en plus : un public germanique hautement participatif, un Billy à bloc en play-back dans une combinaison jaune de toute beauté : vive les 70's vraiment !
Du pur bonheur pour les yeux et les oreilles !
Une autre prestation, toute aussi enjoué et un tantinet plus en direct
"Love Really Hurts Without You" est de ces chansons qui donnent envie de balancer les bras, de claquer des doigts, de dodeliner gentiment de la tête et d'afficher un sourire béat à son écoute. J'ai qu'une envie à la fin de la chanson : la repasser pour pouvoir chanter à tue tête avec Billy.
Et la vidéo qui va avec le morceau est de toute beauté en plus : un public germanique hautement participatif, un Billy à bloc en play-back dans une combinaison jaune de toute beauté : vive les 70's vraiment !
Du pur bonheur pour les yeux et les oreilles !
Une autre prestation, toute aussi enjoué et un tantinet plus en direct
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